05/06/2013

Long week-end, Joyce Maynard

Aline Sirba, notre chroniqueuse littéraire, nous attire aujourd'hui dans une  histoire de prise d'otages, au travers de laquelle un adolescent et sa mère se laissent prendre dans une étrange relation avec  avec celui qui, en les retenant, bouleverse leurs vies.

Un goût de tarte aux pêches.

 Long week-end, Joyce Maynard (Philippe Rey, 2010, 10/18, 2011)

          Joyce Maynard connut une passion exclusive avec  J.D. Salinger, l’auteur de L’Attrape-cœur, lorsqu’en 1973, ce dernier lui écrivit une lettre élogieuse concernant un article qu’elle venait de publier. Il avait alors 53 ans, elle en avait 17. Elle racontera cet épisode dans son autobiographie intitulée Et devant moi, le monde. Au-delà de cette relation qui aura un impact sur son œuvre à venir, Joyce Maynard est avant tout un écrivain confirmé, et c’est peut-être avec Long week-end qu’elle atteint ce statut. Un narrateur presque adolescent y raconte la prise d’otages par un prisonnier évadé dont sa mère et lui font l’objet pendant cinq jours, à la veille de la rentrée des classes, au milieu des années 1980.
Aline Sirba
La suite de cette chronique est à lire sur la page "La plume au vent " de ce blog.

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