Pour écouter l'émission du 25 avril : ICI
Un chaleureux merci à Philippe Bertrand et à son équipe d'avoir mis le projecteur aujourd'hui sur "Le vent se lève !" dans l'émission d'aujourd'hui, la quatrième consacrée au Gers, cette semaine. La vocation de Carnets de campagne est plus que jamais nécessaire et utile aujourd'hui : mettre en lumière et soutenir ces myriades d'initiatives citoyennes qui, dans nos provinces, dans nos villages, font la force de la France d'en bas.
Un chaleureux merci également à tous ceux qui à la suite de cette interview nous ont envoyé des messages d'encouragement. C'est un carburant (vert ! ...comme l'espoir) dont on a besoin quand on se lance dans un projet aussi fou que celui de créer une maison d'édition dans le Gers, et sur une ligne engagée de surcroit. Donc n'hésitez pas à nous envoyer vos petits mots de soutien, et au passage à acheter et commenter nos livres ! Les causes que nous soutenons à travers eux n'en seront que plus fortes.
Nous demandons un peu de patience à tous ceux qui nous ont déjà adressé aujourd'hui ou nous adresseront des manuscrits : ils nous faut le temps de les lire et de vous répondre. Et puis une jeune maison d'édition se doit d'être très sélective dans ses choix, de tempérer parfois ses enthousiasmes, faute de pouvoir mener trop de projets en même temps.
Et aussi un amical bonjour à Cathy Rande (ah ! les Catherine !), gérante de l'épicerie coopérative l'Estanguette à Estang (Gers), qui a aussi été interviewée aujourd'hui par Philippe Lambert : une épicerie solidaire, créée sous forme de SCIC avec les apports des villageois, quel beau geste citoyen pour faire re-vivre un village déserté par ses commerces traditionnels. Et pourquoi pas un livre sur cette expérience, pour qu'elle fasse des émules : " Comment nous avons résisté à la mort annoncée de notre épicerie " ! Une place l'attend dans la collection "Ô rages"...
Enfin, si vous connaissez le vers de Paul Valery, dans le Cimetiere marin : "Le vent se lève, il faut tenter de vivre", je livre à votre reflexion la dernière phrase du "testament" du groupe situationnsite avant son autodissolution, que m'a envoyée aujourd'hui Alain Callès :
Le vent se lève, il faut
cesser de survivre.
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